posté le 03-08-2014 à 09:18:25

La Fée des houx

Le jour tombait sur le verger dans lequel un vieux paysan et son épouse se reposaient de la fatigue du jour. Au fond de leur champ, se dressait la masse imposante que les gens d'Essé et les autres appellent La-Roche-Au-Fées.

 


 
 
posté le 01-08-2014 à 08:25:37

Le chat de Jean Foucault ( Légende bretonne)

Jean Foucault avait toujours eu des chats pour lutter contre les mulots, souris et autres campagnols. Mais à la différence de ses voisins, Jean traitait bien les gardiens de ses récoltes. Ils les nourrissaient, leur donnait un abri et jamais ne les battait. Mieux, il n'était pas en reste d'une bonne claque ou d'un leste coup de pied dans le derrière des garnements surpris à tourmenter un petit félin. Au village, on considérait cette habitude comme une faiblesse d'esprit, mais Jean n'en avait cure.

 


 
 
posté le 29-07-2014 à 07:55:51

Légende de Carnac..."L'armée pétrifiée"

Comme dans le mythe grec de Persée et de la Méduse , la légende de Carnac immortalise une puissante armée...

 


 
 
posté le 24-07-2014 à 09:13:00

Le manche de la "Rozell"

Menez-Hom(Finistère)

Jean-René Brélivet, cultivateur à Trégarvan, au pied du Menez-Hom et François Quenquis, son voisin -et un peu son cousin à la mode de Bretagne- avaient toujours vécu en bonne amitié, n'hésitant jamais à se rendre ces menus services qu'on se doit entre gens d'un même quartier. Non seulement chacun pouvait compter sur l'autre pour les gros travaux comme les battages et les charrois, c'était en fait bien peu de chose, mais Francis savait que lorsque sa faucheuse tombait en panne il pouvait compter sur celle de son ami, comme celui-ci savait que lorsqu'il n'avait plus d'avoine pour "faire la soudure" avant la nouvelle récolte, que françois ne refuserait pas de lui en avancer.

 


 
 
posté le 22-07-2014 à 09:21:21

Les pierres de Plouhinec (légende bretonne)

Bernez aimait Rozenn qui le lui rendait bien. Mais de mariage entre eux, il ne pouvait être question, car Bernez n'était que valet de la ferme du père de Rozenn.

 


 
 
posté le 18-07-2014 à 09:18:44

Le barde Hyvarnion et la belle Rivanone-Légende finistérienne

Fontaine de St Ufold- oncle de St Hervé

C'est à la fontaine de Landouzan qu'eut lieu la rencontre, annoncée par ses rêves, entre le barde Hyvarnion et la belle Rivanone. Une nuit, au château du Jugduval, l'excellent musicien eut la vision d'une juvénile et charmante orpheline qui chantait au bord d'une source. Le lendemain, un jeune homme de lumière entrait dans la chambre du barde et lui affirmait qu'il allait épouser cette jouvencelle de son rêve. Deux jours plus tard, Hyvarnion apercevait sa promise qui se languissait sur la margelle de la fontaine. Sa robe était blanche et rose était son visage, et elle chantait "quoique je ne sois, hélas, qu'un pauvre iris du bord de l'eau, c'est moi qu'on nomme  la petite reine". Elle aussi avait eu un songe où elle voyait le conjoint prédestiné. Le mariage fut célébré - chacun des époux fit un voeu - La bienheureuse épouse souhaita que son enfant ne connut rien des fallacieuses jouissances du monde. 9 mois plus tard, lui naissait un beau bébé - aveugle ! on le prénomma Hervé ce qui veut dire "amèreté" - Dès que le petit Hervé eut atteint l'âge de 5 ans, il perdit son père. Sa mère, Rivanone, et lui se retrouvèrent dans la pauvreté et sans amis.  Dans sa tristesse, elle lui chantait et il grandit en aimant sa poèsie et sa musique. Quand il eut atteint l'âge de 7 ans, elle le confia aux soins d'un saint homme  appelé Athian et elle voulut finir ses jours près de la fontaine où elle avait rencontré son époux. L'enfant voyagea à travers le pays, chantant et mendiant, guidé par un chien blanc qu'il tenait par une corde. Lorsqu'il eut 14 ans, avec l'accord de sa mère, il chercha refuge auprès de son oncle, ermite qui tenait en forêt une école monastique. Son oncle lui tranmit tout son savoir et bien vite l'enfant fit preuve de pouvoirs surprenants et excella dans la connaissance au-delà des autres élèves. Il fit jaillir une source en tapant le sol de son baton. Il avait 15 ans, lorsqu'un loup dévora l'âne de son guide, le nommé Guiharan. Il se mit en prière et le loup s'attela lui-même à la carriole et devint le compagnon du saint. Depuis lors, St Hervé est invoqué contre les loups "Vat-t'en par St Hervé, si tu es loup des champs" Après la mort de sa mère, Hervé sillonna la région en compagnie de son fidèle Guiharan et se retira à Lanrivaoré.A la mort de son oncle, il devint abbé. Lorsque vint le temps de sa mort, il demanda à sa nièce Kristine :"Tina, prépare mon lit,mais pas comme d'habitude. Prépare-le sur la terre ferme devant l'autel - place une pierre comme oreiller et couvre mon lit de cendres". En pleurant, elle accomplit son voeu et pendant que les moines regardaient vers le lit de mort ils entendirent une musique des choeurs célestes qui l'accueillaient et ainsi mourrut le saint aveugle breton. Jusqu'à la révolution française, une chapelle (maintenant détruite) possédait la plus inhabituelles des reliques : le berceau dans lequel Hervé avait été bercé.

 


 
 
posté le 15-07-2014 à 03:41:40

ST SERVAN... le berceau de ST MALO, devenu un quartier(fin)

St Servan c'est également la cité d'Aleth...

Vue du ciel(trouvée sur le net)

 


 
 
posté le 10-07-2014 à 07:57:02

La légende de la fée de l'ile du Loch

L'île du Loc'h  est  la plus grande des Glénans, même en déduisant la surface très variable, (4 à 5 hectares au minimum), d'un étang qui occupe le centre de l'île et lui donne son nom. L'eau de cet étang est saumâtre et les bords marécageux n'évoquent guère le souvenir de la Fée du Loch, dont la légende, fort embellie, est racontée par Emile Souvestre.

 


 
 
posté le 07-07-2014 à 06:30:33

St Servan, le berceau de St Malo(suite)

La tour Solidor est un donjon composé de trois tours réunies par de petitescourtines et est située au débouché de la Rance.

 


 
 
posté le 04-07-2014 à 07:02:02

Les lavandières de la nuit(kannerez-noz ou chanteuses de la nuit)

On appelle lavandière de nuit(kannerez-noz) des femmes blanches qui lavent leur linge en chantant, au clair de lune, dans les fontaines écartées ; elles réclament l'aide des passants pour tordre leur linge et cassent les bras à qui les aide de mauvaise grâce.

 


 
 
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